Raids et invasions vikings/normands
En 1001, la bataille du Val-de-Saire voit une coalition de chevaliers et de paysans normands, dirigée par Néel de Saint-Sauveur, repousser une invasion anglaise. Cette victoire décisive met fin aux ambitions d’Æthelred sur la Normandie, mais laisse présager les futures confrontations entre les deux puissances.
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La bataille de Clontarf (1014) met fin aux ambitions militaires des Vikings en Irlande, mais le coût humain élevé et la perte de Brian Boru empêchent les Irlandais de capitaliser pleinement sur leur victoire. Cet événement marque la transition des Scandinaves d'un rôle conquérant à une intégration commerciale et culturelle au sein de l'Irlande.
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La bataille d’Assandun (1016) a scellé le destin de l’Angleterre, mettant fin à la rivalité entre Edmond Côte-de-Fer et Knut. La trahison d’Eadric Streona fut décisive, permettant à Knut de s’imposer comme le souverain unique. Cette victoire a marqué le début d'une période de domination danoise, remodelant durablement l'histoire anglaise.
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La bataille de Civitate (1053) est une victoire décisive des Normands contre une coalition internationale dirigée par le pape Léon IX. Grâce à leur supériorité tactique et au courage de chefs comme Robert Guiscard, les Normands écrasent leurs ennemis malgré leur infériorité numérique. Cette bataille marque un tournant dans l’histoire de l’Italie du Sud et consolide l’ascension des Normands en tant que force dominante dans la région.
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La bataille de Dyrrachium fut une victoire temporaire mais significative pour les Normands sous Robert Guiscard, marquant le point culminant de leurs ambitions contre Byzance. Cependant, leur incapacité à maintenir leurs gains, combinée à la résilience d’Alexis Ier, limita l’impact à long terme de cette campagne. Cette confrontation resta un exemple marquant des luttes pour le contrôle de la Méditerranée orientale au XIᵉ siècle.
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